Le sommet de la Francophonie ne peut avoir lieu à Kinshasa !
Président, le gouvernement français ne peuvent y participer dans le contexte actuel, ce
sommet doit être déplacé.
En effet, à partir de la fraude électorale massive aux dernières élections présidentielles du
28/11/2012 qui a maintenu en place M. Kabila alors que les élections ont été gagné par
M. Etienne Tshisekedi et législatives qui a même vu des proche du pouvoir qui n’étaient
pas candidat proclamé élus ! Fraude unanimement reconnues par tous les observateurs
internationaux et même par l’église catholique du Congo !
Nous assistons à une grave dérive répressive du pouvoir en place.
Cela commence maintenant à se traduire par des enlèvements politiques d’opposants en pleine
rue de Kinshasa :
– Il y a maintenant presque un mois a été enlevé et a disparu le députe du peuple Eugene
Diomi Ndongala, président de la démocratie Chrétienne, porte-parole de la majorité
présidentielles populaire, (MPP rassemblement qui a soutenu M. Tshisekedi)
– Il y a deux jours c’est le tour de Monsieur Jean-Marie Vianney Kabukanyi, 2ème
Secrétaire Général adjoint de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social,
parti de M Tshisekedi), d’être enlevé avec son jeune frère, par des éléments identifiés
comme étant de la Police Nationale Congolaise.
– D’autres opposants moins connus subissent le même sort.
Nous demandons la libération immédiate des prisonniers politiques, nous demandons
que le gouvernement français intervienne également dans ce sens, et nous demandons
qu’il interpelle les organismes de l’OIF pour déplacer le sommet d’Octobre
Le sommet de l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie) doit avoir lieu les 13 et 14 octobre en République Démocratique du Congo.
Le Président, le gouvernement français ne peuvent y participer dans le contexte actuel et ce
sommet doit être déplacé.
En effet, il y a eu une fraude électorale massive lors de la dernière élection présidentielle du 28/11/2011 qui a maintenu en place M. Kabila alors que les élections ont été gagnées par M. Etienne Tshisekedi ; lors des législatives on a même vu des proches du pouvoir qui n’étaient pas candidats proclamés élus ! Fraudes unanimement reconnues par tous les observateurs internationaux et même par l’église catholique du Congo !
Nous assistons à une grave dérive répressive du pouvoir en place : des enlèvements politiques d’opposants ont lieu en pleine rue à Kinshasa :
- Il y a maintenant presque un mois a été enlevé et a disparu le député du peuple Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne, porte-parole de la majorité présidentielle populaire (MPP, rassemblement qui a soutenu M. Tshisekedi).
- Il y a deux jours c’est le tour de Monsieur Jean-Marie Vianney Kabukanyi, 2ème Secrétaire Général adjoint de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social, parti de M. Tshisekedi), d’être enlevé avec son jeune frère, par des éléments identifiés comme étant de la Police Nationale Congolaise.
- D’autres opposants moins connus subissent le même sort.
Nous demandons la libération immédiate des prisonniers politiques, nous demandons que le gouvernement français intervienne également dans ce sens, et nous demandons qu’il interpelle les organismes de l’OIF pour déplacer le sommet d’octobre.