La cabane juridique de la jungle de Calais vient d’être incendiée.
Cette cabane juridique, construite par l’association Charpentiers sans frontières, était un lieu essentiel, celui de l’accès aux droits pour les réfugiés. Mais la jungle est une zone de non droits.
Malgré les menaces de mort de militants d’extrême droite à l’encontre des réfugiés et des militants, l’Etat n’a rien fait pour les protéger. Pire : le gouvernement poursuit l’expulsion destruction de la jungle sans relogement et menace d’interdire l’ouverture du camp de Grande-Synthe.
L’inhumanité de la politique de ce gouvernement est insupportable.