Le non événement de la candidature de Manuel Valls est donc confirmé… Le bilan du quinquennat qui était inassumable devant les Français par le Président le sera tout autant par le premier ministre qui en fut co-responsable.
Après la guerre de Palais entre le Président Hollande et son double Manuel Valls, les primaires annoncées ne promettent qu’un congrès du PS.
Manuel Valls prétend à la présidence de la France au moment même où les politiques néolibérales de Matteo Renzi, qu’il prenait en modèle, ont été massivement rejetées par les Italiens : un symbole de plus de son abyssal décalage avec les colères et aspirations du peuple.
Jean-Luc Mélenchon, qui fut l’opposant constant à la politique conduite par Valls et ses ministres, incarne plus que jamais le vote nécessaire et salutaire permettant d’éviter le duel FN/LR et ouvrir enfin un nouvel horizon avec le programme « L’avenir en commun » de la France insoumise.