Alors que de toute part l’alerte était sonnée, le chaos est là. 400 000 lycéen.ne.s sont sans proposition d’affectation dans le supérieur et plongé.e.s, au moment où s’ouvre la période de révision du baccalauréat, dans l’inquiétude.
Le gouvernement a échoué à prendre en charge le devenir de la jeunesse du pays. Il a organisé le tri social et territorial entre les élèves. La ministre, Frédéric Vidal, qui prétendait qu’aucun lycéen ne recevrait de « non », a menti à leurs familles.
Rien ne saurait empêcher les aspirations de centaines de milliers de jeunes de pouvoir se concrétiser dans la liberté de choisir ses études.
Le Parti de Gauche appelle les lycéen.ne.s, leurs familles et leurs enseignants à prendre part aux marées populaires, partout en France, samedi 26 mai, pour mettre en échec la politique de sélection à l’université.