Cette décision marque un pas historique dans le combat féministe et le droit des femmes en France. Elle montre que la parole des femmes pourra désormais être entendue et soutenue sans que leurs agresseurs ne se servent de la menace de la diffamation pour les faire taire.
Le Parti de Gauche espère que cette jurisprudence permettra que d’autres femmes victimes de violences sexuelles prennent confiance et portent plainte, que justice se fasse et que leurs droits soient reconnus.
Le Parti de Gauche rappelle cependant que le manque de moyens de la justice ne permet actuellement pas l’accompagnement des victimes et leur prise en charge afin que leur plainte aboutisse. Le Parti de Gauche réitère son combat permanent dans la lutte pour la libération de la parole des femmes et le combat féministe.