Le Congrès du PG dénonce l’insupportable durée de l’enquête préliminaire à propos des assistant.e.s parlementaires de son premier président Jean-Luc Mélenchon, accusé de les avoir détourné.e.s de leurs tâches en les mettant au service de notre Parti.
Le PG rappelle que pendant toute la durée de la présidence de Jean-Luc Mélenchon, de 2009 à 2014, il a assumé lui-même, comme à présent encore, les tâches permanentes et bénévoles de son activité. L’accusation sans preuve de l’extrême droite qui sert de prétexte à cette persécution rappelle les méthodes d’instrumentalisation politique de la justice par lesquelles notre camarade brésilien Lula a été accusé et incarcéré sans raison et c’est à présent son prétendu juge qui est mis en cause pour partialité par la Cour suprême du Brésil.
Le Parti de Gauche réaffirme sa complète solidarité avec Jean-Luc Mélenchon dans l’action judiciaire et militante. Cette cause qui est aussi la sienne puisque le parti est accusé à tort d’avoir bénéficié des moyens du Parlement européen.
Crédit Photo: Stéphane Burlot