Nous dénonçons les réquisitions de travailleur.euses en grève décidées par Elisabeth Borne au mépris du droit de grève, droit fondamental inscrit dans la constitution. Face au salarié.e.s en lutte, le gouvernement choisit une nouvelle fois la répression plutôt que le dialogue.
Le Parti de gauche soutient nationalement et localement les grévistes sur les piquets de grève, participe aux caisses de solidarité, incite à participer aux assemblées générales et à s’impliquer dans l’extension de la grève.